Madeline, 4ème semestre, ISP sur Reims ayant un fort attrait pour la santé-environnement, revient sur le congrès :
« Je vais vous parler du congrès tel que je l’ai vécu et quelques une des notions que j’avais dans ma valise à la fin de celui-ci.
Il y a tout d’abord, cette nécessité de communiquer entre tous les secteurs, de proposer autre chose que la sectorisation à outrance d’aujourd’hui. Cela comprend une augmentation des échanges entre les différents ministères ce qui permettrait, entre autre, d’intégrer la santé dans toutes les politiques comme cela fut notifié dans la Déclaration d’Adélaïde de 2010. Mais cela englobe également l’augmentation des liens entre chercheurs, population, politique, acteurs sur le terrains… afin que chacun travail en connexion avec les autres et dans un intérêt pratique et général. Pour illustration, face à un problème, le politique a besoin que le chercheur l’aide à répondre à la question « par quel bout on s’y prend ? quelles sont les priorités ? » et le chercheur est capable de fournir des outils en mesure d’apporter des éléments.Il y a ensuite, l’importance de la communauté comme déterminant de santé. « Les personnes isolées ont un taux de mortalité plus important que les personnes bien intégré dans leur quartier ». Dans un monde qui me semble prôner l’individualisation de façon disproportionnée, ne pas oublier le pouvoir des communautés me parait être une source d’inspiration pour agir. Pour conclure, une transformation en profondeur de nos sociétés, de nos façons de vivre ensemble et dans notre environnement semblent devenir de plus en plus nécessaire aujourd’hui.«